Le bonjour à vous ! Voici de l’information concernant notre volet botanique. Ceci est une demande de collaboration financière ou en produits/plantes/accessoires/matériaux afin de contribuer à l’évolution de notre projet. Nous avons besoin d’aide à sa réalisation et nous offrons de belles visibilités ou des reçus fiscaux adéquats !
Merci de considérer cette invitation et n’hésitez pas à nous contacter pour de plus amples informations !
Nicole Fafard, cofondatrice et responsable botanique, volet éducatif.

Volet Botanique 2016

Qui sommes nous ?
Fondé en 2003, TerraVie est un OSBL de bienfaisance, de conservation reconnu en économie sociale qui préserve des terres à perpétuité au Québec dont environ 75% est en réserve naturelle. Ceci inclut également des projets d’écotourisme, d’agriculture biologique, de bâtiments écologiques ainsi que des projets d’éducation environnementale fondés sur les principes du développement durable.

Le projet pilote
Il se situe au Lac-du-Brochet dans la municipalité de Montcalm (Laurentides, Québec). Montcalm est un petit village dévitalisé. Il nous semble alors important de le redynamiser ainsi que ses alentours, par des activités sociales, éducatives, communautaires et intergénérationnelles, en nature.

Notre projet à Montcalm est unique et interactif. Nous avons acquis un terrain forestier de 280 acres dont 188 acres abritent une réserve naturelle créée par TerraVie (en partenariat avec le MDDEFP).

La mission
Le volet éducatif est au cœur de la mission de TerraVie. Ses activités s’appuient sur deux jardins biologiques en permaculture composés de plantes indigènes ainsi que des activités en botanique durable et en écoconstruction. L’apprentissage interactif et l’implication communautaire par des occasions pratiques sont la vocation de TerraVie.

Les objectifs
TerraVie s’est fixé comme objectif de restaurer, protéger et conserver la totalité des terrains en permettant le maintien des processus écologiques naturellement présents dans ces types d’écosystèmes fragiles et interdépendants ; ainsi qu’à y développer des infrastructures, des jardins biologiques et des activités éducatives. Divers plans de conservations et d’aménagements durable sont d’ores et déjà établis.

Le public visé
La collectivité que nous desservons par nos services est composée de professionnels, d’étudiants, de stagiaires, d’organismes, d’associations, d’amateurs de plein air cherchant à connaitre des gestes concrets pour un développement durable.

Le site
Bordé par un lac de 43 acres, le site est composé de deux cours d’eau, de tourbières et de milieux forestiers ; dont les peuplements sont âgés de 20 ans à une centaine d’années. Le milieu humide abrite une grande diversité d’espèces.

Nous avons établi des sentiers d’accès, des cabanons de travail ainsi que des bâtiments d’accueil (une yourte et un Centre Nature).

L’endroit est à 20 minutes de Mont-Tremblant, 30 minutes de St-Sauveur et 1h30 de Montréal. Nous envisageons une connexion avec la piste cyclable qui passe aux abords du site et des écogites de TerraVie. Il en va de même pour une liaison entre nos sentiers et les sentiers municipaux.

Les jardins
Nous avons créé deux espaces de jardin communautaire en milieu forestier et en permaculture impliquant plusieurs collectivités. Ces jardins offrent un volet à la fois éducatif et récréatif.

Le premier à proximité du Centre Nature (environ 400 mètres) est composé d’espèces indigènes et sera prochainement accessible aux personnes à mobilité réduite. Quant au second, localisé dans le secteur de la yourte (d’environ un acre), il s’agit d’un jardin potager permettant l’initiation à des méthodes alternatives. Nous y avons aménagé des butes permanentes (dont de l’hugelkulture) et des plans d’eau, planté plusieurs plantes biologiques dont des indigènes, conçu des infrastructures, des systèmes de pompage d’eau, d’énergie alternative, etc.

Ils sont reliés par un sentier forestier d’environ 2 km.

La création de ces jardins communautaires en milieu forestier est un modèle d’inspiration en développement durable et en santé écologique.

Leurs originalités
Elles sont multiples. Les jardins sont situés en milieu forestier, près d’un futur projet d’écotourisme et d’écogîtes mené par TerraVie et sont inter-reliés par des sentiers.

Le jardin indigène est à une distance de 500m de la passerelle d’accès menant au Centre Nature : un pavillon vert qui offrira des dégustations faites à partir des plantes. Le jardin près de la yourte est unique et alimenté en eau via une pompe bélier. Des bassins d’eau à écoulement naturel y ont été créés.

Les jardins sont éducatifs et permettent l’expérimentation et le transfert des connaissances ancestrales. Le but étant de renouer avec nos racines par le biais de pratiques rurales écologiques.

Les jardins seront des lieux d’entraide multi-générationnelle, des lieux de ressourcements ainsi que de redécouverte des anciens cultivars, des fleurs ancestrales et des semences du patrimoine amérindien. La pépinière rustique éventuelle entremêlée de vivaces rustiques contribuent à préserver la biodiversité des milieux naturels ainsi que le développement de modèles en santé alimentaire.

Le but
Il nous parait important de revaloriser nos plantes majoritairement indigènes et diversifiées, de créer une œuvre d’art botanique, nourricière et médicinale. Elle sera également participative avec des ateliers de formation offerts aux visiteurs qui seront sensibilisés à l’importance que jouent ces plantes dans la biodiversité ainsi qu’à l’interdépendance de l’être humain et de la nature.

En prenant conscience des processus écologiques et de l’impact des activités humaines sur l’environnement, les jardins en permaculture serviront de lieux éducatifs. Par ailleurs, nous estimons essentiel d’aborder l’utilisation et la transformation des plantes tant au niveau culinaire que médicinal, connaissances faisant partie du patrimoine culturel collectif.

Les actions à mener

Nous aimerions finaliser les jardins afin de les rendre adéquats aux visites et activités. Il s’agirait de développer le plein potentiel des deux jardins en permaculture/hugelkultur à volet éducatif et aménager adéquatement le sentier qui les relie. Pour cela les actions à mener sont les suivantes :

  • Nettoyer, aménager des infrastructures jardins, des bassins d’eau, les systèmes d’arrosage, d’énergie alternative, les sentiers de circulations, préparation des sols, les purins, des platebandes dont plusieurs butes en hugelkultur, les entretiens, la durabilité et diversité des récoltes.
  • Intégrer de grande diversité d’espèces botaniques, de plantes, d’arbustes, d’arbres avec des propriétés culinaires et médicinales.
  • Faire en sorte que les plantes cohabitent bien ensemble et que son design soit innovateur en y intégrant des œuvres artistiques.
  • Travail d’entretien quotidien : désherbage, nettoyage, arrosage, etc.
  • Mise en place d’un paillis de copeau de bois, de paille et de feuilles mortes autour des plants.
  • Créativité artistique dans les jardins.
  • Récolte des semences en automne.
  • Nettoyer et finaliser le sentier qui relie les jardins.
  • Planifier et construire une serre/pépinière.
  • Aide à la fabrication et mise en place de panneaux éducatifs intégrés dans les jardins.
  • Élaboration de recettes culinaires et médicinales.
  • Formations continues, ateliers offerts au public par l’apprentissage pratique et interactif.

Comment ?

Ces actions seront possibles en stimulant l’implication citoyenne et l’intérêt pour les jardins éducatifs et communautaires des visiteurs ainsi que de la population locale et environnante.

Pour cela, il est important de favoriser les relations publiques avec notamment :

  • Bénévolat de nos membres actifs et personnes intéressées.
  • Étudiants, stagiaires, cégeps, universités, DEP, etc.
  • WWOOFers (jeunes bénévoles).
  • Centres jeunesses d’Huberdeau, implication social.
  • Travaux compensatoires.
  • Centres pour personnes handicapées.
  • Les citoyens/visiteurs de la région, province et international.
  • Nos ateliers de formation.
  • Les visiteurs d’expérience ou intéressés par apprendre.

Nos 90 membres actifs sont appelés à faire 60 heures de bénévolat par an. Ils choisissent ce qu’ils aimeraient faire à travers une liste de tâches à accomplir.

Nous avons également nos ateliers de formation botanique sur la permaculture et les plantes indigènes que nous proposons au grand public et qui nous permettent de faire avancer les jardins par le travail pratique de nos participants.

Nous comptons faire des représentations publiques et individuelles afin d’inviter à la participation afin de développer des modèles de santé alimentaire et d’entraide sociale.
À noter que la permaculture est une approche qui passée cinq ans nécessitera moins d’entretien.

Les partenaires actuels

  • Municipalité de Montcalm – appui du projet.
  • Fondation Hydro

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    Québec – aide aux sentiers, volet éducatif, signalisation.

  • Affaires municipales, régions et occupation du territoire.
    Programme PIEC – aide pour le Centre Nature en construction.
  • Ministère du Développement durable, de l’environnement et des Parcs (MDDEP) effectue le suivi du plan de gestion.
  • Emploi et Développement social Canada – aide aux sentiers pour l’accessibilité à mobilité réduite.
  • Fédération des sociétés d’horticulture et d’écologie du Québec – aide aux jardins.
  • Implications des membres.
  • Jardin Botanique de Montréal – participation de stagiaires.
  • Pépinière rustique – conseils d’expertise et plants indigènes.
  • Emploi d’été Canada – subventions pour étudiants.
  • Centre jeunesse Huberdeau – collaboration active de jeunes en réhabilitation sociale.
  • Les multiples heures de bénévolat sont également des sources d’investissement de grande valeur pour le projet.
  • WWOOFers – bénévoles de divers pays et aide au projet.

Le plan de communication

Nous communiquons continuellement avec nos membres et intéressés par l’intermédiaire de courriels et communiqués pour les inviter à nos travaux collectifs.

Notre site Web qui fait connaitre à nos membres et intéressés, les activités et formations à venir.

Nous faisons également découvrir nos activités dans tous les journaux locaux et régionaux, dans certains magazines spécialisés, dans les stations radios et télévisions communautaires des Laurentides, ainsi que sur certains sites d’éco-communautés.

Nous aurons prochainement un dépliant pour faire diffuser notre volet éducatif de 2016 ainsi que de faire connaitre nos bailleurs de fonds.

Nous organisons des portes ouvertes et évènements sur le terrain et dans les jardins.

Nous réalisons des affiches que nous apposons dans divers commerces de la région et lieux stratégiques ainsi que la diffusion dans leurs réseaux.

Nous ferons de la publicité sur tous les réseaux sociaux, d’entraide aux citoyens, écoles ou instituts connexes. Il en va de même pour les personnes à mobilité réduite.

Nous installons également des pancartes informatives sur le site-même pour faire notamment la promotion de nos bailleurs de fonds.

Nous participons à plusieurs évènements écologiques et marchés dans les Laurentides et à Montréal, où nous tenons des kiosques d’information et de sensibilisation.

En conclusion

La région naturelle des Laurentides est une des plus urbanisées du Québec. Des pressions fortes agissent sur ces écosystèmes, autour des problématiques d’urbanisme, de villégiature, de tourisme, d’activités de production et d’extraction. Actuellement, très peu d’aires naturelles y sont protégées, malgré la richesse et la diversité des milieux naturels laurentiens.

L’intégration de plantes indigènes, d’espèces menacées et d’arbres rustiques permettra de participer concrètement au maintien de la biodiversité de la région ainsi que de développer des modèles de jardins biologiques et diversifiés en permaculture. Les objectifs à atteindre étant les suivants :

  • Limiter les besoins d’entretien.
  • Réduire l’apparition d’insectes nuisibles.
  • Éliminer l’usage des fertilisants et des pesticides chimiques.
  • Fournir de la nourriture saine.
  • Restaurer la qualité des habitats naturels et des espaces verts.
  • Participer à l’effort de maintien de la diversité biologique.
  • Redonner un sens à la pratique du jardinage et de l’horticulture.
  • Célébrer notre patrimoine culturel collectif et floristique.

Les plantes indigènes et biologiques sont adaptées à notre climat et s’intègrent à merveille dans notre environnement.

Un choix judicieux, un choix naturel !

Les jardins en permaculture permettent de développer des modèles botaniques durables et améliorent de façon naturel les sols et les cultures.


Montant de la commandite visé : 10 000 $

Achat de plants : 2 500 $

Fourniture et outils de jardin : 1 500 $

Matériaux /systèmes de jardin : 1 000 $

Rémunération (chargé de projet, infographie/photos) : 5 000 $

Visibilité des partenaires et des commanditaires

Le public de TerraVie est diversifié. Il est généralement bien informé et actif. TerraVie touche plus de 5 000 personnes mensuellement par ses communications électroniques et sont une source d’information qui donne une bonne visibilité. Chaque mois, son site internet reçu une moyenne de 3 250 visites en 2015. Grâce aux évènements qu’il organise et ceux auxquels il participe en tant qu’exposant reconnu comme une référence en matière d’écologie et de conservation de la nature, TerraVie rejoint plus de 200 000 personnes à chaque année et recrute en moyenne 200 nouveaux membres par année grâce à cette présence.

Pour tout don sans commandite = reçu fiscal

Commandites

 
 
Don / Jardins
 
 
 

En quelques chiffres :

2003 Incorporation de l’organisme
130 000+ Nombres d’heures/personnes d’implication bénévole
2000 Membres actifs et sympathisants depuis 2003
4000+ Présences de participants aux activités et formations
288 Acres de terres protégées
10 616 000
L’équivalence en pieds carrés
10 Infrastructures permanentes (bâtiments, ponceaux, jardins etc.)
15+ Kilomètres de sentiers sur le site (+ accès au réseau piste)
100+ Stagiaires /wooffers accueillies dans le cadre d’études et de projets ponctuels
-40 Minutes pour accéder au site à partir des localités de la région
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